L’Eglise catholique, sur la tradition des peres, explique différemment ce passage, permet la séparation des mariés, si elle est jugée nécessaire ; mais croit que, dans tous les cas, le lien légitimement contracté est indissoluble. […] Mais comment se défendre des poursuites, de la tendresse, des fêtes, des présens du prince le plus galant, dont la médiocrité de sa fortune lui rendoit les faveurs nécessaires ?