Pierre Guillot, dans Les Jésuites et la musique, le collègue de la Trinité à Lyon, 1565-1762 (Liège, Mardaga, 1991, p. 184) fait l’hypothèse qu’il s’agisse d’un pseudonyme.
Pierre Guillot, dans Les Jésuites et la musique, le collègue de la Trinité à Lyon, 1565-1762 (Liège, Mardaga, 1991, p. 184) fait l’hypothèse qu’il s’agisse d’un pseudonyme.