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292. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

 » Quels reproches ne se fait-il donc pas d’avoir composé en vers et en musique cette scène si naïve et si touchante, que toutes les jeunes filles savent par cœur : « Tant qu’à mon Colin j’ai su plaire. » « Le théâtre Français est, dit-il encore, la plus pernicieuse école du vice….

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