Nous ressemblons, p. 165, à des instrumens de musique dont les passions sont les cordes. […] Les Siciliens ont toujours passé pour être très-amoureux, & leur amour ne manque jamais d’emprunter le secours de la poësie & de la musique. […] L’Auteur est persuadé que la puissance de la musique nuit à l’illusion de la Scène la plus parfaite.