Unique bien que tout respire L’esprit captif sous ton Empire, Chérit l’honneur de son tourment, Retenu en tes douces gênesc, Mourir enlacé de tes chaines C’est vivre au vrai contentement.
Unique bien que tout respire L’esprit captif sous ton Empire, Chérit l’honneur de son tourment, Retenu en tes douces gênesc, Mourir enlacé de tes chaines C’est vivre au vrai contentement.