C’est de la bouche des Officiers français que j’ai su comme tout le monde à Berlin que Sa Majesté allait elle-même consoler un Général français prêt à mourir de ses blessures.
C’est de la bouche des Officiers français que j’ai su comme tout le monde à Berlin que Sa Majesté allait elle-même consoler un Général français prêt à mourir de ses blessures.