Je n’eusse sans mourir quitté leur douce flamme, Si le Ciel n’eût permis que je vive en deux lieux, Et que gardant le corps, tout ce que j’ai de mieux Demeure, en vous laissant le gage de mon âme.
Je n’eusse sans mourir quitté leur douce flamme, Si le Ciel n’eût permis que je vive en deux lieux, Et que gardant le corps, tout ce que j’ai de mieux Demeure, en vous laissant le gage de mon âme.