Leur décadence s’opère quelquefois sans secousse et tout naturellement : ils meurent quand ils ont porté leur plus beau fruit. […] Il veut mourir d’effroi, ou se livrer à l’épanouissement d’un gros rire, en débridant sa large bouche. […] Accoutumé à avoir la fibre ébranlée par l’impression de tableaux épouvantables, le peuple renonce à la jouissance des impressions douces ; il ne veut plus que Clytemnestre meure derrière la toile.