Elles y sont heureuses, y vivent, y meurent saintement. […] Cette petite antithèse de la vie & de la mort, vit en désirant la mort, meurt en détestant la vie, l’a ébloui. […] Mourons : quel doux moment ! […] Trainez-moi vers l’Autel, traînez-moi que j’y meure. […] Je me meurs, & elle tombe évanouie de rage.