Veut-on du sel & de la malignité, que de bons mots, de médisances, de ridicules, de portraite satyriques ! […] Rien de plus ennuyeux que des discours galans sans obscénité ; l’esprit ni la passion ne peuvent s’y satisfaire ; toujours mêmes images, mêmes sentimens, mêmes mots, feux, flammes, chaînes, soupirs, adorations, lys & roses, &c.