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390. (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54

Il ne doit jamais douter de l’efficacité des remèdes qu’il applique, il ne doit en un mot rien hasarder même de l’aveu du malade, qui n’est pas le maître d’exposer sa vie ni sa santé ; c’est sur des preuves évidentes et sur des expériences lumineuses qui ne lui laissent aucun doute sur le parti qu’il doit prendre, qu’il lui est permis de se déterminer. […] On prétend que je n’ai cité ces derniers mots de Mr.  […] En un mot l’image du vice à découvert les choquait moins que celle de la pudeur offensée.

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