A Toutes les vexations des Comédiens envers les Gens de Lettres, je n’ai dit mot. Au tyrannique empire, au despote injurieux que les Histrions exercent contre les successeurs des Corneille ou des Moliere, je n’ai dit mot. Au tort réel que ces Messieurs & ces Dames ont osé faire souffrir à nos Sophocles, Euripides, Plautes & Térences Français, je n’ai dit mot. […] Les événemens ordinaires, les aventures passées, les changemens de modes, les bons mots, les vaudevilles, & pour dernier trait enfin, la mort des Auteurs. […] Je ne dis mot des tracasseries, des pas & démarches qu’il faut faire, des mortifications qu’il faut essuyer, & c.