Sa famille, pour lui sauver cette confusion, attribua sa mort à une terreur panique de quelque prédiction faite d’une mort prochaine. […] Gueret ne l’a pas cru ; il lui fait dire dans son Parnasse réformé : Qui voudra savoir de quelle maladie je suis mort, qu’il l’apprenne ; ce n’est ni de l’hydropisie ni de la goute, mais que je suis mort d’Andromaque. Moliere pouvoit dire aussi : Je suis mort du Malade imaginaire. La mort presque subite de l’un & de l’autre, en sortant du théatre, est affreuse. […] Il a passé plusieurs années en France, s’y est marié, y est mort.