Creuse indignée, ne sachant pas qu’Ion est son fils, veut le faire empoisonner, Son dessein est découvert, elle est condamnée à la mort ; elle se réfugie au pied de l’Autel. […] C’est donc une vaine crainte de l’avenir qui te portait à me donner la mort ? […] Je te donnais la mort pour prévenir mon trépas. […] Quoi, je ne tirerais pas raison d’une impie qui m’a presque donné la mort !