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4. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

Son amante est enfermée, on fait courir le bruit de sa mort. […] La mort qui détruit l'humanité la rend-elle libre ? […] Ce n'est point une mort subite qui surprenne, un délire qui ôte la raison ; on a tout le temps. […] La tragédie est imparfaite, si elle ne produit cet effet : partout du sang, des morts, des forfaits. […] un caveau, des tombeaux, des fossoyeurs, des têtes de mort.

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