Ces deux Poëtes lui apprenoient à penser, tandis que ses plus éloquens prosateurs bornoient encore tout leur génie à défendre Jansénius, ou à flatter en chaire les Princes morts & les Princes vivans. […] Est-ce bien sous le règne d’un Prince équitable, d’un Prince qui a senti lui-même le besoin de limiter son pouvoir, qu’on peut trouver de l’indécence à faire justice d’un Tyran, deux siècles après sa mort ?