C’est la mort du vice, le tombeau de l’amour, la proscription de la galanterie. […] Il l’est par la mort civile, lorsque l’un ou l’autre est proscrit. La mort civile a bien de l’étendue ; la proscription n’est que le dévouement à la mort.
C’est la mort du vice, le tombeau de l’amour, la proscription de la galanterie. […] Il l’est par la mort civile, lorsque l’un ou l’autre est proscrit. La mort civile a bien de l’étendue ; la proscription n’est que le dévouement à la mort.