Sa vie, sa mort, ses métamorphoses d’ecclésiastique en guerrier, de général d’armée en philosophe, de chrétien en païen, donnerent continuellement la comédie à tout l’empire. […] Les philosophes sont ennemis de la superstition, &, sous ce nom, attaquent les cérémonies de l’église ; Julien étoit le plus superstitieux des hommes, & adonné à la magie On trouva après sa mort quantité de cadavres cachés qui avoient servi à ses opérations magiques. […] Mais sa mort mit fin à ses fureurs. […] Mais bientôt s’étonnant des horreurs de la mort ; Je suis folle, dit-elle en s’éloignant du bord, Il est tant de bergers, & je n’ai qu’une vie.