Si nous sommes étonnés, avec raison, que la Farce de Pathelin n’ait point eu d’imitateurs pendant plusieurs siècles, nous devons l’être encore plus que le mauvais goût de ces siècles d’ignorance règne encore quelquefois sur notre Théâtre : nous serions bien tentés de croire que l’on a peut-être montré trop d’indulgence pour ces espèces de recueils de Scènes isolées, qu’on nomme Comédies-à-tiroirs.