Puisque, comme le remarque le même orateur, “quand la religion monta sur le trône avec Constantin, on put se flatter que les siècles d’Auguste et de Périclès allaient renaître à la fois avec l’éloquence des pères de l’église…. […] Remettre ce bavardage sur la scène, c’est nous faire rétrograder de dix ans, et nous ramener à ce temps désastreux de délire et d’anarchie où le maître et le valet, par respect pour l’égalité, pouvaient monter tour à tour sur un char triomphant, ou se placer derrière.