. — Madame D’Alzan ne vient pas, disait à tout moment celui qui l’avait devant les yeux, & qui ne pouvait la connaître. […] voyez mes transports —… Je les partageais, mon aimable sœur, je les éprouvais aussi vivement que mon époux : ce moment était le plus heureux de ma vie : des soupirs, des cris, des caresses, des larmes délicieuses… Enfin, nous nous sommes remis, & c’est alors que nous avons commencé de sentir tout notre bonheur. […] depuis hier, ce moment est le premier dont je dispose.