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99. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466

Les Parades qui suivent les Danses-de-corde sont une peinture, quelquefois assez vraie, des mœurs communes des gens de la plus basse condition. […] Deux choses peu compatibles à réunir, mon ami, l’innocence de mœurs, & le commerce du monde ! […] qui sait si les mœurs efféminées de notre siècle n’ont pas leur source dans ces divertissemens, où des séductrices aimables font avaler le poison, en feignant de présenter des mets salutaires ! […] leurs mœurs étant pures, ne sera-ce pas assez ? […] Il est un de ceux dont on peut citer la pureté des mœurs sur le Théâtre.

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