Elle veut alors qu’ils soient honnêtes à tous égards, qu’ils ne nuisent ni à la piété ni aux bonnes mœurs, qu’ils n’aient rien de contagieux, qu’ils n’inspirent point le goût de la frivolité, de la dissipation et de l’oubli de ses devoirs, et qu’enfin ils soient de nature à être offerts à Dieu. […] Si c’était dans un homme à qui la dépravation de nos mœurs permît tout ; mais non, c’est dans une femme dont on affecte de vanter la modestie, qu’on présente comme un modèle de vertu, comme une héroïne.