Il y a les mœurs de la Nation ; il y a les mœurs du personnage. […] Mais les mœurs du François ne ressemblent pas pour cela aux mœurs du Romain. […] L’assemblage de ces différentes choses constitue les mœurs. Outre ces mœurs générales, chaque homme a ses mœurs propres, son caractère particulier. […] Je n’y trouve ni les mœurs Grecques ni les siennes.