Si dans la comédie moderne il ne se trouve ni paroles ni actions qui soient contre les bonnes mœurs, ne serait-ce point être trop sévère que de la proscrire absolument ? […] La comédie moderne, tout épurée qu’elle est, étant une occasion prochaine et quasi inévitable de péché, comment, disent ces censeurs, peut-on permettre d’y aller ?