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135. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

Mais on voit, en examinant les Pièces de Molière, et de nos Auteurs modernes, que ces défauts ne sont que des vices décriés dans le monde, et indépendants des bonnes mœurs ; car il ne faut pas s’aveugler sur ce mot, ni l’interpréter futilement. […] Après avoir montré combien la Tragédie a perdu de son ancienne majesté, en perdant sa gravité, sa sévérité, sa modestie, sa décence, il passe à la Comédie moderne. […] L’Orateur insère un mot sur chaque chose, et fait ensuite une récapitulation des vices plus pernicieux, que la Comédie moderne a, dit-il, introduits, et qu’elle autorise. […] (Citation inutile, comme on l’a déjà dit, puisqu’il ne s’agit ici que de la Comédie moderne, et que tous ces Personnages n’ont pu parler que de l’ancienne, que M.F. condamne). […] Porée a favorisé la moderne.

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