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317. (1647) Traité des théâtres pp. -

Saint Augustin venu immédiatement après eux, fait de graves répréhensions à ceux qui s’y adonnaient, appelle le chemin qui menait au Théâtre, « le chemin qui mène à la mort », qualifie « frénétiques ceux qui y couraient », voyant qu’ils y étaient opiniâtrés, n’y trouve point de meilleur remède, sinon d’avertir « qu’on priât Dieu pour eux »ca ; à savoir, à la manière dont on use envers des malades qui sont déplorés. […] Quelques-uns passent plus outre, et conscients que le meilleur serait généralement de n’y aller point, seulement ils improuvent, que lorsque nonobstant il y en a qui s’y rendent, on le leur impute à un si grand péché ; comme s’il allait du pair aveceq les vols et les meurtres, et qu’au sujet d’icelui on fût en péril de damnation.

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