fourbe dont l’intrigue, les maximes, et les démarches, de l’aveu même des sectateurs de Molière, sont dangereuses à tous égards. […] Pour quelques traits de morale inutile, combien de maximes affreuses ? […] Mes soins pour Léonore ont suivi ces maximes. […] C’est une bien mauvaise maxime, pour faire détester le vice, que de l’exposer publiquement, et de le faire paraître au grand jour. […] Si nos Comédies contiennent quelques maximes que la raison, que les mœurs puissent adopter, qu’ils sont rares !