Songez encore, si vous jugez digne du nom de Chrétien et de Prêtre, de trouver honnête la corruption réduite en maximes dans les Opéras de Quinault, avec toutes les fausses tendresses, et toutes ces trompeuses invitations à jouir du beau temps de la jeunesse, qui retentissent partout dans ses Poésies. […] Urbain, Levesque, L’Eglise et le théâtre, Bossuet, Maximes et réflexions sur la Comédie, précédées d’une introduction historique et accompagnées de documents contemporains et de notes critiques, Bernard Grasset, 1930.]