» Ces maximes perverses, qui ne sont pas moins opposées à la religion qu’à la raison, sont préconisées dans une infinité de pièces tragiques. […] Ces maximes font sur l’esprit des spectateurs de mauvaises impressions, sans même qu’ils s’en aperçoivent, affaiblissent l’horreur qu’ils ont pour ce crime, le leur font regarder comme une action héroïque, et les disposent à le commettre eux-mêmes lorsque l’occasion s’en présentera.