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3. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

en parlant de la Comédie, a dit que ce n’était point une chose mauvaise. […] qui a pour but le divertissement des hommes, n’est point de soi illicite et mauvaise. […] Il n’est pas nécessaire que les choses que l’on compare conviennent en tout, il suffit qu’elles conviennent en quelque point : ces choses conviennent en ce que, comme le désir déréglé de l’or et de l’argent est mauvais, de même le plaisir que l’on prend à la Comédie est mauvais. […] Si l’on veut enfin que les Comédies soient mauvaises, les Magistrats ne devraient point les souffrir. […]  » l’avait dit autrefois dans le même esprit : que l’on tolérait des choses mauvaises pour empêcher de plus grands maux.

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