Voici à peu près la manière dont les gens du monde justifient ces sortes de plaisirs : ce sont des choses, disent-ils, qui sont purement indifférentes d’elles-mêmes, et qui ne sont péchées que par le mauvais usage qu’on en fait. […] Si donc l’on pèche dans ces sortes d’occasions, ce n’est que la mauvaise intention des particuliers qui en est la cause, et nullement le spectacle qui est de soi indifférent, et que l’on peut rendre bon ou mauvais selon la disposition dans laquelle on est.