Il couchoit avec des gands d’une peau particuliere pour conserver ses belles mains, & couvroit son visage d’une pâte préparée, avec un masque par-dessus pour maintenir la fraîcheur de son teint & la finesse de sa peau. […] Ce jeu de l’imagination, cet assortiment de pieces de rapport, souvent peu faites l’une pour l’autre, n’est qu’un masque qui déguise la laideur, & quelquefois défigure la véritable beauté. […] Mais n’eût-il pas dans le cœur ce qu’il s’étudie de représenter, il doit au moins, pour jouer son rôlle, en arborer le masque, & ce masque est l’anéantissement de la modestie. Ce masque d’amour, que ne dit-il pas de la dépravation du cœur qu’il exprime ?