Le dénouement se fait par un mariage qui n’a rien que d’honnête et de légitime. […] Si la pièce se conclut par le mariage, elle n’en est pas pour cela moins dangereuse, car quoiqu’il soit bon et louable en soi, la concupiscence qui s’y trouve jointe est sans contredit une chose blâmable et déréglée, c’est le honteux effet du péché. […] Si le mariage en sait bien user, s’ensuit-il qu’il la faille exciter ?