Ce foible avantage est balancé par une multitude de fausses maximes qui n’ont pas peu contribué au déreglement de son siécle & du nôtre ; l’indulgence des parens à souffrir les galanteries d’une fille, la scandaleuse liberté que les maris accordent à leurs épouses, sont un fruit des Œuvres de Moliere. […] Quelle leçon pour les Maris en ce peu de paroles ! Il faut que les maris soient toujours complaisans, Jusques à leur laisser & Mouches & Rubans, Et courir tous les Bals & les lieux d’assemblée.