[L’Ecole des Maris, les Fâcheux, l’Avare, &c. […] « Des maris scrupuleux, ou dupes de leur simplicité & de la coquetterie de leurs femmes. […] Elle s’en dédommagea en se livrant à une forte inclination pour le Chevalier de Versenai ; mais à condition que leur bonheur réciproque ne parviendroit à son apogée qu’après la mort du mari, que l’Auteur fait arriver à volonté pour opérer le dénouement de cette galante intrigue. […] Le vieux Sertorius voudra séduire une jeune femme éperduement amoureuse de son mari.