Sur cette contestation le mari arrivant, il lui conte tout. […] Elle lui dit donc qu’« il voie à la porte s’il n’y a personne qui vienne ou qui écoute, et si par hasard son mari ne passerait point ». […] Sur cela, le Mari s’emporte pitoyablement, et conclut par un raisonnement ordinaire aux gens de sa sorte, « qu’il ne se fiera jamais en homme de bien ». […] » comme le Mari faisait au premier Acte touchant le même Panulphe. […] Sans autre délibération, on oblige le mari à le suivre ; mais comme ils sortent, ils rencontrent Panulphe avec l’Officier, qui les arrêtent.