C’est un habit de chasse, un portrait, un bal où le mari est masqué, une compagnie de libertins, un mari adultère dont on surprend les lettres & dont le crime n’est qu’un jeu, une comédie jouée dans sa maison, où le mari & la femme ont des rôles. […] c’est le malheur de toutes les femmes, & peut-on compter sur quelque mari ? […] est-ce même à un mari à se plaindre ? […] Le mari est moins content & moins félicité. […] Aussi n’est-ce pas au mari qu’on s’embarrasse de plaire.