Les Dieux nous manquent, et nous leur manquons ; et si, voulant imiter les Anciens en quelque façon, un Auteur introduisait des Anges et des Saints sur notre scène, il scandaliserait les dévots comme profane, et paraîtrait imbécile aux libertins. […] Mais il me semble que les Prêtres ne manqueraient pas de crier contre la profanation de ces Histoires sacrées, dont ils remplissent leurs conversations ordinaires, leurs livres, et leurs sermons.