Il prend évidemment sa source dans la multiplicité des théâtres, qui, chaque jour ouverts à la curiosité et au désœuvrement, nuit même aux progrès de l’art, et l’a fait dégénérer d’une manière trèss ensible. […] De manière que ce ne sont plus les hypocrites de la religion ou de la vertu, qu’il faudrait maintenant démasquer au théâtre, mais ceux du vice en crédit.