Telle fut la source de ses foiblesses & de ses malheurs : elle fut la premiere, & rendit tout ce qui lui étoit dévoué, la victime des passions les plus propres à la dégrader. […] Elle lui point ses fils en prison, sa fille fugitive, sa belle-fille déguisée en femme-de-chambre, & son petit-fils en paysan ; elle déplore ses propres malheurs, dont le plus sensible c’est , dit-elle, d’être éloignée de ses sacrés genoux & de ses bonnes graces, & privée de sa vue & de sa bienveillance. […] Ses égaremens font plus de pitié que ses malheurs. […] Je sens mes autres malheurs avec plus d’aigreur. […] Le Prince de Conti, qu’elle avoit engagé dans ses intrigues & dans ses malheurs, donna comme elle dans une grande dévotion, & prit aussi la plume,.