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66. (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36

Alors si nous avons le malheur encore de perdre un de ces Poëtes, son ombre en descendant aux Champs Élisées pourra apprendre à l’illustre Auteur de Caliste & d’Astarbé, que sa Comédie se joue enfin ; mais ce ne pourra être qu’en 1779, encore… encore… L’établissement du second Théâtre Français ne se faisant pas, quelques Poëtes Dramatiques, las d’attendre cinq à six ans, firent jouer leurs Piéces sur les Théâtres de Province ; entr’autres M. […] le Chevalier du Coudray semble traiter ce malheur légerement, on aura soin de lui dire avec la plus grande impartialité, qu’il a tort, & très-grand tort d’abandonner le Théâtre.

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