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310. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

 : « Malheur à ceux qui boivent leur vin au son des instruments de musique, qui n’ont aucun égard à l’œuvre du Seigneur, et qui ne considèrent point l’ouvrage de ses mains ». […] "Malheur à vous qui appelez bon ce qui est mauvais, et mauvais ce qui est bon : qui donnez le nom de lumière aux ténèbres, et le nom de ténèbres à la lumière : qui dites que ce qui est amer est doux, et que ce qui est doux est amer."

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