Et l’on doit avouer que rien ne seroit réellement plus méprisable que les Tragédies Françoises, si elles avoient le malheur de ressembler au portrait qu’on en voit dans le Discours du critique Italien.
Et l’on doit avouer que rien ne seroit réellement plus méprisable que les Tragédies Françoises, si elles avoient le malheur de ressembler au portrait qu’on en voit dans le Discours du critique Italien.