Et ne sont-ce pas là par conséquent les endroits où les Chrétiens doivent éviter de se rencontrer, pour n’être point confondus avec ce monde, à qui Jésus-Christ a dit : « Malheur et anathème » ? […] Je ne puis en attendant m’empêcher de le plaindre sur l’emploi qu’il fait de l’autorité des Pères ; il a le malheur de trébucher autant de fois qu’il se mêle de les citer : je l’ai relevé sur le fait de Tertullien, il faut lui faire la même charité sur le sujet de saint Cyprien, qu’il prend encore ici de travers.