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209. (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610

Malheur à notre esprit, s’il goûte des plaisirs Qui peuvent contre Dieu révolter nos desirs ! […] Car un certain nombre de malheurs nous est destiné. […] Il est bien plus fâcheux d’avoir besoin de son courage pour soutenir un malheur, que pour l’éviter. […] Catinat éprouva ce malheur. […] La raison nous dit que c’est une vraie foiblesse de ne pouvoir survivre à son malheur, & qu’il est bien plus noble de braver la fortune, & de ne jamais s’abandonner, lorsqu’elle nous abandonne.

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