N’est-il pas juste qu’on compare avec ce bien imaginaire, qui traîne presque toujours après soi une longue suite de maux de toute espèce, les desseins abominables de tant d’impuretés, et de tant d’adultères qui se forment dans ces mêmes lieux ? […] Comment peut-on donc excuser une pratique si remplie de véritables maux, sous prétexte d’un bien apparent ?