Une pièce de théâtre était pour lui comme un repas donné au luxe, au plaisir, à une petite intrigue ; jamais il n’en envisagea ni le bien ni le mal moral, et ne le prépara comme un ressort secret de quelque grand événement. […] Plusieurs Evêques lui dirent que les comédies qui ne représentaient que des choses saintes, ne pouvaient être un mal ; que les Courtisans avaient besoin de ces occupations pour en éviter de plus mauvaises ; que la dévotion des Rois devait être différente de celle des particuliers, et qu’ils pouvaient autoriser ces divertissements. […] La dissipation, le goût du luxe et du plaisir, firent du mal à l’Eglise ; Dieu ne bénit pas leur pontificat, il fut très malheureux, l’un par l’hérésie de Luther, qui ravagea toute l’Allemagne, l’autre par le sac de la ville de Rome par le Connétable de Bourbon et les troupes de Charles Quint. […] Ce Ministre, comme l’on voit, a fait plus d’une espèce de maux à la France. […] 9.) traduit mal le passage de Suger qu’il cite.