Car comme je l’ai remarqué dans un autre endroit, on cherche par là à nourrir et à fortifier l’orgueil, et par consequent on envenime un mal qu’on ne devroit penser qu’à guerir. […] En effet, s’abandonner alors à la joie, et se plonger sans reserve dans les plaisirs des mondains, c’est faire voir avec la derniere évidence qu’on regarde les maux de l’Eglise avec un œil fort indifferent, ce qui marque une disposition d’esprit tout à fait profane, et trés-opposée à tout ce qu’il y a de plus essentiel à la veritable regeneration.