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5. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295

Les deux Billets-doux sont à présent entre les mains de monsieur D’Alzan : Agathe, dont il ne connaît pas la main, a écrit sous mon nom de Florise ; elle-même a remis le paquet, comme venant de le recevoir d’un inconnu, qui s’était retiré sur-le-champ. […] Dès qu’Agathe a été sortie, mon mari qui ne me quittait pas, qui m’avait pris la main, & qui la pressait faiblement, m’a montré son fils : — Voila, m’a-t-il dit, le gage précieux d’une heureuse union. […] En même-temps elle est sortie, sous prétexte de remettre les enfans entre les mains d’Agathe. […] je suis prête à tout pour regagner votre cœur… Il était à mes genoux : il fondait en larmes, la bouche collée sur une de mes mains.

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